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10 avril 2020

Je vais être dur !


Certainement sommes nous bombardés d'intox, de fake news dit-on aujourd'hui.
Tout n'est certainement pas noir ou blanc dans la situation de crise que vivent nos chevaliers de la Santé.

Mais je sais !  Je sais avec certitude que nos gouvernements libéraux ou simili-socialistes qui se sont succédés ont tous poursuivi le machiavélique plan* de détricotage de la Sécurité sociale !
Depuis quarante ans, il est de bon ton de tirer sur l' « État providence ».
Vous avez fait des « choix » ou accepté les avis des lobbies.
Vous avez choisi la Finance et l'individualisme.
Sous prétexte de croissance et de concurrence qui enrichissent avec insolence des individualités, vous avez sabré dans les biens communs et vous avez tout détricoté : notre Santé, notre Sécurité, notre Enseignement et notre Justice… étouffant au passage ce qui nous restait de Démocratie !
Profiter des acquis de nos aïeuls et détruire l'État était bien plus aisé que construire une société durable !
Résultat ?

Nous comptons nos morts.  Au JT ou sur Internet, le bilan journalier tombe.
Messieurs, surtout, et Mesdames les politiciens, vous avez des morts sur la conscience !

Mais je crains que ce ne soit pas fini.
Aveuglés que vous serez par le souci de reprise économique, de « retour à la normale », de rattrapage budgétaire ou autre nouveau vocable que vous médiatiserez, vous oublierez les fondamentaux qui fondent une société, les valeurs humaines et les lois de la Nature, versus les lois du Marché.
Oui, je crains que le tribu soit bien plus lourd encore que l'hécatombe du Covid-19 si vous ne le considérez pas comme un avertissement !

Allez, s'il vous plaît, mesdames, messieurs du monde politique, faites-nous rêver !


* plan = image représentant le rouleau compresseur du Capitalisme au détriment des valeurs communes ; il ne s'agit pas ici d'une allusion à un dessein ou à un complot organisé.

27 décembre 2019

On a besoin d'un cadre pour vivre !


Au-delà d'un certain nombre de clients, vous avez un impact sociétal : culturel, économique, écologique,…
Vos choix de production, matériel ou service, ont un impact dont vous êtes responsables.  Il est lâche ou même mensonger de se retrancher derrière le libre-choix de la clientèle.  Car passé un certain cap, celle-ci n'a plus que le libre-choix d'accepter bon gré, mal gré vos stratégies !
Les Lois du Marché » qu'on appelle cela.  Lois que personne n'a voté.  Lois que l'on doit accepter aveuglément comme si elles étaient aussi immuables que les lois de l'univers.

Quelques exemples ?  les nébuleuses Facebook, Google, Apple, Microsoft, Amazon et autres géant du logiciel et du hardware associé nous imposent une mise à jour continuelle de nos produits dans une course effrénée qui nous fait croire à une obsolescence programmée.  Je la qualifierais plutôt d'obsolescence consentie,… faussement consentie !
Il en va de même dans l'industrie, de la pollution, des déchets.  Pensons à tous ces (sur-)emballages plastiques.  Essayez donc de les retourner aux expéditeurs.  Essayez donc de faire valoir votre droit de client d'acheter autre chose lorsque la plus mauvaise des solutions devient unique et exclusive.

Comment la sphère politique peut-elle recadrer ces comportements déviants ?
Toute production de masse devrait se voir imposer (comme d'antan) une garantie de continuité fonctionnelle du produit vendu ou du service fourni.  Surtout lorsque celui-ci est essentiel comme l'accès à l'eau ou aux moyens de communication, par exemple.

Ce recadrage est essentiel si l'on veut atteindre des objectifs tels que la restauration de la confiance sociale ou l'éradication des comportements nuisibles envers l'équilibre social ou écologique.

Un exemple encore pour me faire comprendre.  (Cet exemple n'est pas une attaque directe envers la firme.)
Lorsque Facebook met à jour son application (par quelques nouveautés et corrections de bugs ; nous avons tous déjà lu cela), elle impose une puissance matérielle supplémentaire ou des modifications comportementales à ses utilisateurs, etc… elle met sa clientèle devant un fait accompli avec des conséquences perverses indésirées.  Ces dernières peuvent aller de la simple perte de temps à l'obligation de mettre à jour son ordinateur, sa tablette ou son téléphone, voire même de se retrouver dans l'incapacité de se mettre à niveau et donc obligé d'acquérir un matériel neuf (alors que l'ancien était tout à fait fonctionnel, il est juste décrété obsolète) au risque de se voir exclure du produit Facebook, Messenger, Instagram, etc… alors que, j'en suis convaincu, il ne s'agissait pas là de la motivation première de la firme !

Cet exemple peut se développer à l'envi pour d'autres produits et marques.  Il met en lumière les effets pervers des Lois du marché où les entreprises comme les clients se retrouvent enfermés dans des mécanismes qui s'imbriquent et où les seuls limites sont celles du Marché et de la Physique.  Il n'est plus jamais question de limites politiques, de limites pour le bien-être citoyen.

…à suivre

20 septembre 2019

L'Humain, le Temps et le Capital

L'Humain se répartit toujours en deux camps : ceux qui détiennent le pouvoir et les autres.
Si par le passé, le pouvoir était détenu par l'Armée, la Religion et la Noblesse, depuis l'avènement de la Bourgeoisie, en caricaturant un peu, il n'est plus détenu que par le Capital.
Aujourd'hui, l'Humain se répartit donc toujours en deux camps : ceux qui détiennent du capital et les autres.

Pour bien les maîtriser, les « autres » sont cantonnés au rôle de travailleurs tandis que les nantis du capital seront actionnaires.  Les travailleurs sont asservis dans leur gestion quotidienne à fournir leur temps pour enrichir et renforcer les actionnaires en échange de quoi un salaire leur est octroyé pour « vivre ».

Lorsque l'on analyse les temps du travailleur, la fracture sociale avec les actionnaires est encore plus criante.  Tant qu'il travaille, les règles sont le pointage, le « just in time », ou autre « time is money » ; chaque seconde est comptée, décomptée.  Une fois le travail terminé, bonjour les embouteillages !  Là son temps ne compte plus car il ne rapporte plus à l'actionnaire.  Bonjour les files en train, en métro ou en voiture, pour chercher à se parquer, pour les courses, et même pour les loisirs, file à l'aéroport, aux attractions, etc…

Évidemment, rappellons que nous n'avons jamais autant produit de « richesses » ! …cherchez l'erreur !

29 juin 2015

Journalisme ou business ? Media d'information ou de divertissement ?

Peut-on encore parler de journalisme ? Aujourd'hui, 29 juin 2015, deux articles paraissent sur La Libre Belgique en ligne.  L'horreur ! L'horreur dans le contenu. L'horreur dans la forme.

  • Attentat terroriste commis par un détraqué à Sousse en Tunisie. (lien)
  • Explosion dramatique lors d'une soirée à Taïwan. (lien)

Dans les deux cas, des vidéos sont associées à l'article.
Mais le traitement rédactionnel est différent.  Avant la seconde vidéo, un message nous prévient :
« Attention : les images de la vidéo ci-dessous peuvent heurter la sensibilité de nos lecteurs. » 
Or pour moi, tout dramatique qu'il soit, cet incident n'est qu'un grand, gros, triste, déplorable... fait divers.  Il y a lieu d'en rechercher les causes, les coupables et d'adapter les règlementations pour que cela ne se reproduise plus.  Ce qui a déjà été fait : le produit inflammable a été retiré de la vente. Mais,... ...

  1. Pour la première vidéo qui montre l'attentat terroriste : rien !  Pas d'avertissement !
    Un massacre de sang froid serait donc moins heurtant qu'une panique lors d'un incendie ?
  2. Et concernant le héros qui a vraiment mis fin à cette boucherie : aucune mention, rien !
    Le terroriste et son action froide ont donc aux yeux des journalistes plus de valeur que les personnes qui ont mis en péril leur vie pour stopper ce massacre ?

Enfin, petite parenthèse : est-il nécessaire de diffuser ces vidéos ?  Que devrait être une déontologie journalistique digne de ce nom ?
Pour ma part, auraient suffit : d'une part un encart réduit sur l'accident à Taïwan en insistant sur la résolution du problème et d'autre part un article détaillé sur l'attentat à Sousse en détaillant la bravoure du pompier salvateur ainsi que les solutions officielles mises en place pour assurer la sécurité future.

Messieurs les journalistes, réveillez-vous !

M. Tim Cook, votre politique logicielle

M. Tim Cook,

Aujourd'hui encore, je reçois une invitation à mettre à jour mon OS X pour iTunes, les pilotes Epson et l'App Store.

Là, j'ai peur : angoisse !  Est-ce que tous mes appareils fonctionneront encore après cette mise à jour ?

Déjà, je conserve un vieil iMac Luxo (Tournesol) sous Tiger afin d'y synchroniser mon vieil iPod Firewire mais aussi un iPhone.

Je ne peux accepter de jeter un matériel 100% fonctionnel et devoir en acheter un neuf suite à une mise à jour logicielle ! ! !
Je comprends la difficulté à maintenir une base "ancienne".  Mais l'informatique et les technologies en générale évoluent de manière exponentielle, les cycles se raccourcissent, et c'est donc vous et vous seul qui déterminez ce qui est "dépassé", trop vieux que pour être encore suivi.  Je ne porterai pas l'accusation d'obsolescence programmée car vous êtes "enfermé" dans un système concurrentiel qui impose cet état de fait.  Néanmoins, dans le rapport entre vos investissements et vos bénéfices, la confiance que nous vous donnons s'étiole à force de voir où glissent vos valeurs !

Signé : un simple utilisateur Apple de très longue date mais de plus en plus désabusé du manque de contrôle politique des usages de l'industrie.

25 octobre 2014

Sanctions à la SNCB

Lu sur cette page dans Le Soir mise en ligne ce vendredi 24 octobre 2014 

« Nous n’acceptons pas cette décision »

Les syndicats ne partagent pas cette analyse. «  Je suis dégoûté par ce manque d’empathie  », réagit Michel Abdissi, le président de la CGSP Cheminots. «  Nous nous sommes retrouvés face à des personnes insensibles quant aux interrogations des travailleurs  », déplore le syndicaliste. «  Nous n’acceptons pas cette décision. »
La CSC Transcom regrette également ces sanctions. « Ce qui pend au-dessus de la tête des cheminots est très grave. Ils ont simplement réagi », explique Luc Piens, secrétaire général de la CSC Transcom.

Ni une, ni deux, j'ai écrit à ces 2 monsieurs :

Bonjour Monsieur,

J'ignore si vous avez réellement dit ou écrit : « Je suis dégoûté par ce manque d’empathie ».

Dans l'affirmative, je trouve alors que vous ne manquez pas de culot !  À quelle empathie faites-vous référence ?  Celle envers les services de secours, pompiers bénévoles et autres ?  Celle envers le personnel infirmier ?  Celle envers les enseignants ?

Que vous ayez à vous plaindre, je n'en doute pas.  Sachez que nous sommes nombreux dans ce cas !  Mais nous n'avons pas tous le moyen de faire grève avec des conséquences aussi dommageables que les vôtres !  Nombreux sont ceux pour qui la grève est synonyme de « non assistance à personnes en danger » !  Alors, avant de dégainer votre prochaine action spontanée (sauvage ?), réfléchissez-y à deux fois !

Dans le même ordre d'idée, je lis que votre pendant CSC, M. Luc Piens écrit « Ils ont simplement réagi ».  Mais sur quelle planète vivez-vous ?  Y a-t-il des neurones qui sont utilisés dans vos cerveaux ?  Ou n'êtes-vous motivés que par votre nombril ?  Lorsqu'un contrôleur est agressé par un voyageur excédé qui en vient aux mains, accepteriez-vous cette réponse simpliste : « Ils ont simplement réagi » ?

J'ose espérer que nombre de réactions comme la présente vous fassent revenir à la raison, au bon sens, à une vision solidaire dans la société !  Car c'est-là, je pense, l'essence même du mouvement syndical !

Bien à vous,

…, un simple citoyen non motorisé qui de temps à autre prend, lui aussi, le train.

22 octobre 2014

Histoire exponentielle de l'informatique

C'est une évidence, l'informatique évolue de façon exponentielle.  La loi de Moore maintes fois évoquée à chaque avancée électronique, physique, logicielle, etc… est là pour nous le rappeler !

Et donc oui, les nouveaux ordinateurs, tablettes, smartphones, etc… sont chaque fois plus petits, plus fins, plus puissants.

Ce qui est moins relevé, c’est qu’il n’est plus nécessaire de suivre cette évolution effrénée !  Quoique…

Pourquoi mettre à jour une machine qui fonctionne bien et nous satisfait comme au jour de son achat ?  Parce que aujourd’hui tout est connecté.  Et que si l’on ne veut pas être exclu de ce monde interconnecté, il nous faut être « compatibles », comme au bon vieux temps des PC IBM sous MS-Dos.

Pourtant, les firmes (aujourd’hui Apple, Google, Samsung, Amazon, etc…) feraient bien de préparer la prochaine révolution.  Celle où l’ancien pourra cohabiter avec le nouveau !  Car si il y a une constante logique à cette évolution accélérée, c’est que les cycles se raccourcissent !  Si hier, le nouveau modèle sortait après 3 ans, aujourd’hui, il sort après 3 mois !  Et bien sûr, non, nous n’allons pas remplacer notre matériel à cette fréquence.

Bien sûr des efforts sont faits de part et d’autres pour que les mises à jour intègrent les générations précédentes mais l’on sent bien que la limite est clairement celle de la garantie légale ! Au-delà, votre appareil sera de suite déclassé !  Cette pression est intenable !

Peut-on en sortir ?  Individuellement, c’est difficile.  Globalement, je vois deux pistes.  Celle que je préfère, politique, où des contraintes cohérentes et durables sont imposées en faveur des utilisateurs, de la société et de la planète.  L’autre, un peu utopiste mais avec un brin de réalisme imposé par le marché, où les acteurs commerciaux adaptent leur mode de gestion logicielle et cloud pour que les anciens matériels s’y intègrent.  Non, ce n’est pas un rêve, ce sera un passage obligé !  Car imaginez le scénario :

  • Vous achetez un nouveau frigo version 3.25 qui communique parfaitement avec votre congélateur bahut 2.0.
  • À peine installé, votre congélateur reçoit une mise à jour de sécurité importante sans quoi tout votre stock de viande aurait pu être contaminé par un virus.
  • Hélas, cette nouvelle version ne communique pas correctement avec votre frigo.  La mise à jour du frigo se fait attendre.  Car sa gestion dépend d'un autre fournisseur qui s’est associé avec un service de livraison à domicile ne nécessitant plus de conserver chez soi un sur-stock.
  • ...

Et l’histoire peut continuer ainsi ; vous avez compris où je veux en venir : on atteint la limite de la bêtise !

19 avril 2012

Micro-Macro : cloud... ou pas ?

Bien des domaines, et l'informatique en particulier, aiment les mouvements de balancier.

Depuis ses débuts, l'informatique centralise puis éclate sa gestion.  Pour nous mettre de suite dans le sujet, l'ordinateur était un "mainframe" entouré de ses consoles pour devenir des "ordinateurs personnels" utilisant des serveurs.

Ces mouvements furent les mêmes pour les applications et pour les données : on centralise, on éclate, on centralise, on éclate.  Et le dernier en date, le nouveau Roi, c'est le Cloud.  On centralise !  La gestion, le stockage et surtout la propriété !

Le Cloud offre bien des avantages : traçabilité, légalité, fiabilité et synchronisation des contenus, fidélisation des utilisateurs, etc...  Mais il a aussi ses inconvénients : dépendance au réseau, dématérialisation de la propriété, perte d'indépendance pour l'utilisateur, etc...

Arrêtez ce va-et-vient ridicule !  Le bon sens est souvent question de mesure.  Ni noir, ni blanc, il devrait se trouver quelque part à mi-chemin entre l'isolement (éclatement total) et le confinement (centralisation totale) !  Mais peut-on l'atteindre ?  Ou ne doit-on juste en rêver ?

La mode et les intérêts financiers étant au Cloud, il n'est aujourd'hui pas facile de s'y opposer : Amazon, Apple, Facebook, Google, IBM, Microsoft, Yahoo!, tous veulent nous canaliser, nous abonner à leur services.  Il y va de leur hégémonie comme de leurs intérêts financiers.  Mais ils ne sont pas philanthropes, nous ne devons pas tout accepter en bloc.  Plusieurs solutions s'offrent à nous.

  1. Faire jouer la concurrence !  Cela évite d'être pieds et poings liés avec le bon vouloir d'une même société.  Cela oblige celles-ci à tempérer leurs envies de contrôlite aigüe (pour autant qu'il n'y ait pas d'entente illicite).
  2. N'utiliser que la partie réellement nécessaire des services proposés.  Si il est pratique par exemple de partager ses photos en famille, ou avec ses amis, il n'est pas nécessaire de les afficher ad vitam pour toute la planète.  Il en va de même pour toutes les autres formes de partage.
  3. Utiliser des services équivalents mais basés sur une solution personnelle.  Vous pouvez en effet avoir vos propres serveurs reliés à Internet.  Il s'agit d'une solution plus technique et/ou plus coûteuse mais plus sure et plus respectueuse de la propriété.
  4. Garder de la distance quant à l'utilité réelle des nouveaux services proposés.
  5. Et revenons au bon sens : effectuer un savant mélange des solutions ci-avant !

17 mai 2010

Comment indiquer la composition de nos aliments

Il y a toujours une guéguerre de normalisation des affichages, des étiquetages de nos denrées alimentaires. Officiellement, il y a la volonté d'informer au mieux le consommateur. Et commercialement, il y a lieu de tenter au maximum l'acheteur (et lui cacher, ou minimiser par n'importe quel moyen, ce qui pourrait le faire hésiter/reculer). Deux visions qui s'opposent et s'affrontent !

À ce jeu du chat et de la souris (je t'oblige une nouvelle norme, je trouve une faille à ta norme, etc..), je suggère cette idée, reprise des affichages sur le niveau économique des appareils électro-ménagers. En peu de temps, le consommateur s'est aguerri des classes A, B, C, D, et E. De même, je pense qu'une ou deux tiges de couleurs renseigneraient efficacement sur la composition de nos denrées alimentaires.

Comment cela ?
En figeant un code couleur par type d'aliment (Jaune = lipides, rouge = glucides, vert = fibre, etc...)
En respectant les proportions réelles (50 % de rouge, 40 % de jaune, 3 % de vert = des chips ?)
Les tiges doivent occuper toute la longueur de l'emballage et de minimum 2 mm de large pour être vues de tous.

Pourquoi deux tiges ?
L'une pour la composition, l'autre pour la teneur énergétique.

Évidemment, j'expose ici l'idée brute. Elle doit être peaufinée dans les détails et tenir compte de tous les cas de figure. Mais je l'imagine bien plus efficace que ces longs textes miniatures que plus personne ne lit !

31 octobre 2009

ROI et TCO

pour les non-initiés :

  • Return On Investment (retour sur investissement) ou ce qui importe lorsque vous étudiez ou mettez en place un projet est le bénéfice que vous allez en retirer.
  • Total Cost of Ownership (coût global d'utilisation) ou pour toute solution mise en place en étudier son coût complet reprenant l'ensemble de son cycle de vie et les implications annexes. Seront donc pris en compte l'ensemble des coûts de la naissance à la disparition du produit et ceux, indirects mais soit impératifs, soit conséquents à son usage.

Après le JIT (Just In Time, tout doit être fait au bon moment), le Mind Mapping associé à la GTD (Get Things Done), etc.. a-t-on vraiment accompli tout ce qui était en notre pouvoir pour améliorer la rentabilité de nos entreprises et de la société ?

La société industrielle a automatisé les tâches ouvrières et leur a appliqué tous ces principes. À sa suite, ce sont les tâches administratives et intéllectuelles qui ont été ainsi optimisées. Quelle est l'étape suivante vers plus d'efficience ?

Au sommet de la pyramide, les tâches de direction n'ont pas encore été revisitées. Pourtant un travail profond doit aussi y être pour améliorer leurs résultats. Que de temps perdus en réunions ? Que d'espaces perdus par manque d'optimisation. Et que d'énergies perdues en trajets

13 mars 2009

Économie et société

(réflexions inspirées de la lecture du Monde diplomatique, édition de décembre 2008, dossier sur l'éclatement de la bulle immobilière, pages 10 à 15)

Courte introduction

Après la crise technologique, la crise immobilière est maintenant acquise et, avec elle, la crise bancaire. Sauf à espérer un ballon d'oxygène via une meilleure gestion écologique, c'est une crise totale qui s'annonce et, pour la première (seconde ?) fois, au niveau planétaire. Pour éviter le chaos, il faut revenir à des fondements essentiels (humains et sociétaux) pour trouver/espérer des solutions durables.

Où sont les fondements ?

De manière générale, on confond les besoins essentiels (donc raisonables) avec les envies de confort, les aspirations inspirées de la comparaison (jalousies) offerte avec profusion par les media.
Historiquement, pour tempérer ces envies de confort, il y eut le communisme, les commandements religieux ou, au sortir de passe difficile comme la guerre, la solidarité. On peut dire que la société a une nécessité de garde-fous pour canaliser ses envies. Elle a besoin d'État !

L'État peut exister entre le tout à l'État (communisme) et le rien à l'État (libéralisme). Pour cela, la démocratie me semble, à moi aussi, le moins mauvais des systèmes. Mais pour que la démocratie fonctionne correctement, il faut que la séparation des pouvoirs soit réalité. Et pour cela, l'équilibre de force entre ses trois pouvoirs doit être permanent. Depuis plus de 30 ans, le pouvoir judiciaire est bien trop affaibli. Et voilà la démocratie chancelante : la faiblesse du pilier Justice a permis la corruption des deux autres !

On peut s'interroger sur le pourquoi un pilier (forcément fondamental) a pu être ainsi délaissé au point de saboter l'essence même de la séparation des pouvoirs. La réponse se trouve dans la solidarité, l'union, la cohésion, tout cet état d'esprit qui était de mise au sortir de la guerre. L'excès de confiance.

Où sont les solutions ?

À moins d'une révolution, même si on souhaite les réformer, il faut tenir compte des structures en place.
… à suivre

Il faut tenir à jour des indicateurs afin de s'assurer du bon maintien de chacun des piliers de la démocratie.
… à suivre

1 mars 2008

iPhone

Tout à déjà été dit et écrit mais je confirme…
Pour un premier jet : une réussite !
- technique (qui a tout le potentiel pour s'améliorer)
- révolution téléphonique
- révolution d'interface
- révolution du "buziness model"
Echec commercial ? En tout cas, Apple doit revoir sa copie si elle veut conserver son avance et la concrétiser sur le marché.

…et ceux que vous avez les plus consultés