19 avril 2012

Identité, racisme, qui suis-je, où suis-je ?

Pré - en - bulles…

Chacun dans sa bulle ?  Si cela signifie chacun chez soi, alors non.  C'est trop triste.

Chacun dans sa bulle ?  Si la bulle, c'est moi, mon être, mon corps, une entité, un tout indivisible : alors oui !  Et dans ce cas,…  Chacun dans sa bulle ?  Pourquoi pas, c'est très souple une bulle !


« Je veux bien être humaniste.
… oui, pour autant que l'Autre humain, avec ses différences, reste chez lui ! »

Si il s'approche de moi, je devrai faire un effort réel, essayer de le comprendre et m'adapter. 

C'est cela qui me bouscule et me dérange : modifier mes habitudes, remettre en cause mes acquis, partager mon confort, ouvrir une part de mon espace à l'Autre !

Combattre mon égoïsme sécuritaire et prendre du recul (en opposition à l'égocentrisme facile) pour analyser le monde qui m'entoure, c'est là la voie vers la tolérance et la création de mon être humaniste.

Micro-Macro : cloud... ou pas ?

Bien des domaines, et l'informatique en particulier, aiment les mouvements de balancier.

Depuis ses débuts, l'informatique centralise puis éclate sa gestion.  Pour nous mettre de suite dans le sujet, l'ordinateur était un "mainframe" entouré de ses consoles pour devenir des "ordinateurs personnels" utilisant des serveurs.

Ces mouvements furent les mêmes pour les applications et pour les données : on centralise, on éclate, on centralise, on éclate.  Et le dernier en date, le nouveau Roi, c'est le Cloud.  On centralise !  La gestion, le stockage et surtout la propriété !

Le Cloud offre bien des avantages : traçabilité, légalité, fiabilité et synchronisation des contenus, fidélisation des utilisateurs, etc...  Mais il a aussi ses inconvénients : dépendance au réseau, dématérialisation de la propriété, perte d'indépendance pour l'utilisateur, etc...

Arrêtez ce va-et-vient ridicule !  Le bon sens est souvent question de mesure.  Ni noir, ni blanc, il devrait se trouver quelque part à mi-chemin entre l'isolement (éclatement total) et le confinement (centralisation totale) !  Mais peut-on l'atteindre ?  Ou ne doit-on juste en rêver ?

La mode et les intérêts financiers étant au Cloud, il n'est aujourd'hui pas facile de s'y opposer : Amazon, Apple, Facebook, Google, IBM, Microsoft, Yahoo!, tous veulent nous canaliser, nous abonner à leur services.  Il y va de leur hégémonie comme de leurs intérêts financiers.  Mais ils ne sont pas philanthropes, nous ne devons pas tout accepter en bloc.  Plusieurs solutions s'offrent à nous.

  1. Faire jouer la concurrence !  Cela évite d'être pieds et poings liés avec le bon vouloir d'une même société.  Cela oblige celles-ci à tempérer leurs envies de contrôlite aigüe (pour autant qu'il n'y ait pas d'entente illicite).
  2. N'utiliser que la partie réellement nécessaire des services proposés.  Si il est pratique par exemple de partager ses photos en famille, ou avec ses amis, il n'est pas nécessaire de les afficher ad vitam pour toute la planète.  Il en va de même pour toutes les autres formes de partage.
  3. Utiliser des services équivalents mais basés sur une solution personnelle.  Vous pouvez en effet avoir vos propres serveurs reliés à Internet.  Il s'agit d'une solution plus technique et/ou plus coûteuse mais plus sure et plus respectueuse de la propriété.
  4. Garder de la distance quant à l'utilité réelle des nouveaux services proposés.
  5. Et revenons au bon sens : effectuer un savant mélange des solutions ci-avant !

17 mai 2010

Comment indiquer la composition de nos aliments

Il y a toujours une guéguerre de normalisation des affichages, des étiquetages de nos denrées alimentaires. Officiellement, il y a la volonté d'informer au mieux le consommateur. Et commercialement, il y a lieu de tenter au maximum l'acheteur (et lui cacher, ou minimiser par n'importe quel moyen, ce qui pourrait le faire hésiter/reculer). Deux visions qui s'opposent et s'affrontent !

À ce jeu du chat et de la souris (je t'oblige une nouvelle norme, je trouve une faille à ta norme, etc..), je suggère cette idée, reprise des affichages sur le niveau économique des appareils électro-ménagers. En peu de temps, le consommateur s'est aguerri des classes A, B, C, D, et E. De même, je pense qu'une ou deux tiges de couleurs renseigneraient efficacement sur la composition de nos denrées alimentaires.

Comment cela ?
En figeant un code couleur par type d'aliment (Jaune = lipides, rouge = glucides, vert = fibre, etc...)
En respectant les proportions réelles (50 % de rouge, 40 % de jaune, 3 % de vert = des chips ?)
Les tiges doivent occuper toute la longueur de l'emballage et de minimum 2 mm de large pour être vues de tous.

Pourquoi deux tiges ?
L'une pour la composition, l'autre pour la teneur énergétique.

Évidemment, j'expose ici l'idée brute. Elle doit être peaufinée dans les détails et tenir compte de tous les cas de figure. Mais je l'imagine bien plus efficace que ces longs textes miniatures que plus personne ne lit !

26 mars 2010

Identité, racisme, qui suis-je, où suis-je ?

Pré - en - bulles…

Chacun dans sa bulle ?  Si cela signifie chacun chez soi, alors non.  C'est trop triste.

Chacun dans sa bulle ?  Si la bulle, c'est moi, mon être, mon corps, une entité, un tout indivisible : alors oui !  Et dans ce cas,…  Chacun dans sa bulle ?  Pourquoi pas, c'est très souple une bulle !


« Je veux bien être humaniste.
… oui, pour autant que l'Autre humain, avec ses différences, reste chez lui ! »

Si il s'approche de moi, je devrai faire un effort réel, essayer de le comprendre et m'adapter. 

C'est cela qui me bouscule et me dérange : modifier mes habitudes, remettre en cause mes acquis, partager mon confort, ouvrir une part de mon espace à l'Autre !

Combattre mon égoïsme sécuritaire et prendre du recul (en opposition à l'égocentrisme facile) pour analyser le monde qui m'entoure, c'est là la voie vers la tolérance et la création de mon être humaniste.

7 février 2010

Banques = ennemis de Robin des Bois

Elles prennent aux pauvres pour distribuer aux riches !

Comment se fait-il, si je laisse mes sous à la banque pour qu'elle en fasse commerce via des prêts rémunérés, qu'en contrepartie elle me demande de payer ?

Voici deux exemples bien concrêts :
1) ING (idem pour Fortis et autres «bons princes»
+ 10,00 € compte à vue
+ 05,00 € envoi courrier
+ 14,16 € port et frais du compte (vous aurez noté le subtil distinguo entre les deux premiers et ce troisième poste !)
+ 04,80 € assurance compte à vue
+ 16,5289 € forfait annuel (très précis !)
+ 04,80 € assurance compte épargne vert
+ 03,47 € TVA 21 %
================
= beaucoup ! (même en retirant certains postes « obligatoires »)

2) Argenta (et d'autres banques plus discrètes)
+ 00,00 € 
+ 00,00 € compte à vue
+ 00,00 € port et frais du compte
+ 00,00 € forfait annuel
+ 00,00 € compte épargne
================
= 3 x RIEN !

…et ceux que vous avez les plus consultés